vendredi 29 décembre 2017

Rétro : les acteurs décédés en 2017


Parmi les événements marquants de l'année, le décès de grands noms du cinéma : Claude Rich, Jean Rochefort, Mireille Darc, Danielle Darrieux ou encore Jeanne Moreau.

Avec Jules et Jim de François Truffaut, Jeanne Moreau rencontre en 1962 son premier grand succès dans un film entré au Panthéon du cinéma. Elle a tourné dans plus de 130 longs métrages signés Buñuel, Wenders, Truffaut ou Welles. Première femme élue à l'Académie des Beaux-Arts, elle avait reçu tous les honneurs, dont un Oscar. La comédienne s'est éteinte le 31 juillet à Paris......

Lire la suite sur Franceinfo

jeudi 28 décembre 2017

Les astronautes de la station internationale découvrent le dernier Star Wars


Pour cadeau de Noël spatial, les six astronautes de l'ISS ont eu droit à une projection de l'épisode VIII 

de «Star Wars». Montage The Walt Disney Company France, HO / NASA / AFP


Pour cadeau de Noël, les six membres d'équipage de la station spatiale internationale ont eu droit à une projection de l'épisode VIII de la saga intergalactique. Un moment immortalisé par un cliché pris par l'Américain Mark T. Vande Hei.
Regarder un épisode de Star Wars au milieu des étoiles, quoi de plus grisant? Ce moment d'exception les six astronautes à bord de la station spatiale internationale l'ont vécu en visionnant depuis l'espace l'épisode XIII de la saga, Les Derniers Jedi, le 24 décembre.....

Lire la suite sur Le Figaro

Star Wars 8 fiche infos et vidéos sur notre site Internet

mardi 26 décembre 2017

Pourquoi Les Derniers Jedi est-il l'épisode le plus détesté de la saga Star Wars ?


DÉCRYPTAGE - Malgré un triomphe au box-office et une ingéniosité reconnue unanimement, l'Épisode VIII déchire toujours les fans et attise la guerre des Anciens et des Modernes. Pourquoi ? La réponse dans cet article qui - vous êtes prévenus - contient de nombreux «spoilers».
Comme prévu, Les Derniers Jedi s'impose comme le film retentissant de cette fin d'année. Le long-métrage de Rian Johnson a déjà engrangé 536 millions de dollars de recettes et s'inscrit comme le meilleur démarrage de l'histoire du box-office américain, derrière Le Réveil de la Force. L'accueil critique est tout aussi favorable, la presse saluant dans son ensemble un volet original et audacieux, visuellement époustouflant, bien servi par son casting.
Mais au milieu de ce concert de louanges, de nombreuses voix discordantes se font entendre. Et de plus en plus fort. Près de la moitié des fans de la saga grondent. Car, plus encore que La Menace fantôme (1999), jamais un épisode de Star Wars n'aura été aussi clivant. Sur le site Rotten Tomatoes, qui donne habituellement une idée assez représentative de l'accueil populaire d'un film, on peut observer un immense fossé entre les notes de la presse (92%) et celles des spectateurs (53%)......

Lire la suite dans Le Figaro


Sur notre site Internet présentation de Star Wars Vlll

vendredi 15 décembre 2017

Le Plein de Culture : «Avec Star Wars, Hollywood a réinventé un genre»


LE PLEIN DE CULTURE - Invité de François Aubel et Athénaïs Keller sur le plateau du Plein de Culture, Le rédacteur en chef du Figaroscope, Olivier Delcroix est venu partager son point de vue (sans spoiler) sur le dernier Star Wars sorti en salle mercredi 13 décembre.
Le journaliste et écrivain Olivier Delcroix est venu ce jeudi, expliquer pourquoi il considère ce huitième épisode de Star WarsLes derniers Jedi, «comme une épopée «pop et flamboyante». Avant tout grâce à son réalisateur explique-t-il. Rian Johnson qui signe cet épisode et les trois à venir aurait réussi à relever l'immense challenge que représente la réalisation d'un épisode de la saga. «Le plus étonnant dans cet épisode huit est que Rian Johnson a réussi a s'intégrer dans la grosse machine qu'est Star Wars pour y mettre un peu de sa patte d'auteur» affirme Olivier Delcroix.........


Présentation du film sur notre site Internet 

jeudi 14 décembre 2017

Les Bienheureux, croquis d'une jeunesse algérienne assommée d'interdits

«Les bienheureux», le premier drame de Sofia Djama, sort en salle le 13 décembre prochain.
Les Bienheureux

CRITIQUE - Le premier long-métrage  de Sofia Djama, avec Sami Bouajila et Nadia Kaci, dépeint le climat social de l'Algérie d'aujourd'hui à travers une plongée dans les blessures du passé. Et la difficulté pour les nouvelles générations à trouver une place dans une société sclérosée.
À Alger, en 2008, la guerre civile et la terreur semblent terminées. Mais il en reste des séquelles: cette cicatrice sur le cou de la jeune Feriel, qui a échappé au massacre où sa mère a été tuée ; cette amertume au cœur d'Amal, qui reproche vivement à son mari, Samir, médecin gynécologue, de n'avoir pas quitté l'Algérie comme certains de leurs amis....

Lire la suite sur Le Figaro

mercredi 13 décembre 2017

Star Wars 8 , Le crime de l'Orient-Express, Maria by Callas... Les films à voir ou à éviter cette semaine

Les sorties des films de la semaine du 13 décembre 2017. PicGen / AlloCiné / AFP

VIDÉOS - Le grand retour de Luke Skywalker, la vie de la Callas, une adaptation d'un classique d'Agatha Christie... Que faut-il aller voir au cinéma cette semaine? La sélection et les conseils de la rédaction du Figaro.
À VOIR
Star Wars: Les derniers Jedi, fiction de Rian Johnson, 2h32
Luke Skywalker se terre dans une île perdue au milieu de l'océan. Vagues furieuses, falaises escarpées, végétation réduite au minimum, l'endroit aurait plu au Werner Herzog de la grande époque. Il s'isole. Les hommes l'ont déçu. Il a une grosse barbe de prophète. Une demoiselle aux joues roses vient le déranger dans sa tanière. La galaxie est toujours aussi lointaine, mais il n'y a pas moyen d'avoir la paix. C'est que l'heure est grave... L'épisode VIII de la saga initiée il y a quarante ans par George Lucas tient ses promesses. Le jeune Rian Johnson signe un film dans la veine de L'Empire contre-attaque, et plonge les spectateurs dans un bouillonnant space opera, où l'humour et l'action le disputent à l'émotion.....

jeudi 7 décembre 2017

Un homme intègre, un thriller kafkaïen en Iran


CRITIQUE - Le cinéaste iranien Mohammad Rasoulof montre son pays comme un système mafieux. Un grand film, Prix un Certain Regard à Cannes.
Les censeurs iraniens savent regarder les films. Ils ont tout compris à Un homme intègre , terrible et remarquable dernier long-métrage de Mohammad Rasoulof. Ils ont vu la critique d'une société gangrenée par la corruption, d'un régime totalitaire hypocrite et irrespirable. Le 16 septembre, à l'aéroport de Téhéran, de retour chez lui après une tournée internationale, Rasoulof s'est vu confisquer son passeport et interdire de circuler librement par les Renseignements des gardiens de la Révolution.
Deux chefs d'accusation pèsent contre lui: atteinte à la sécurité et propagande contre le régime. Il encourt sept ans de prison. Pourtant, Rasoulof n'a pas tourné Un homme intègre clandestinement, contrairement à son précédent film, Les manuscrits ne brûlent pas. Il a profité d'une faille, de l'incohérence du système. Il a aussi beaucoup rusé et a brouillé les pistes pour signer l'un des meilleurs films du dernier Festival de Cannes où il a obtenu le prix Un certain regard - il méritait d'être en compétition.......

vendredi 1 décembre 2017

Padmavati: une actrice de Bollywood menacée de mort par la droite nationaliste

Un appel au meurtre a été lancé contre l'actrice indo-danoise
Deepika Padukone par un porte-parole du parti au pouvoir. Adnan Abidi/REUTERS

Le film Padmavati, qui sort ce vendredi, suscite la fureur de l'extrême droite indienne. Un porte-parole régional du parti au pouvoir a lancé un appel au meurtre visant l'Indo-Danoise Deepika Padukone et le réalisateur, promettant plusieurs millions de roupies de récompense.
La situation politique de l'Inde dirigée par Narendra Modi n'en finit plus d'inquiéter, y compris à l'internationale. Bollywood fait dorénavant les frais de la résurgence d'un nationalisme porté par le parti au pouvoir, le Bharatiya Janata Party (BJP). Depuis l'élection de Modi, en 2014, les dérives identitaires de l'ultra-patriotisme indien (mélange d'extrémisme hindou et de nationalisme politique) alimentent la chronique et suscitent adhésion ou réprobation. Dernier scandale en date, les menaces entourant la sortie du film Padmavati de Sanjay Leela Bhansali, inspiré du destin d'une reine indienne du Rajasthan ayant vécu à la fin du XIIIe siècle.
Un film considéré comme sacrilège au regard de l'histoire nationale
L'histoire narre le drame de la reine Rani Padmini (aussi appelée Padmavati). Refusant de se donner à un sultan musulman qui a envahi sa ville, Padmavati se jette dans les flammes du bûcher de son époux afin de le rejoindre dans la mort. Pour écrire son film, le réalisateur a pris pour point de départ un poème écrit en 1540 par......

Lire la suite sur Le Figaro

Pour plus d'information sur ce film voir notre site Internet c'est ICI