John David Washington dans «BlacKkKlansman», Vincent Cassel dans «O Grande Circo Mistico» et
Shoko Nishimiya (Saori Hayami) dans «Silent voice». Focus Features LLC. - Bodega Films - Art House
Shoko Nishimiya (Saori Hayami) dans «Silent voice». Focus Features LLC. - Bodega Films - Art House
VIDÉOS - Le biopic de Spike Lee sur un flic noir ayant infiltré le Ku Klux Klan, une histoire intergénérationnelle à mi-chemin entre Fellini et le surréalisme latino-américain, un film d'animation japonais sur le harcèlement scolaire... La sélection et les conseils de la rédaction du Figaro.
À voir
● BlacKkKlansman, biopic de Spike Lee, 2h16
Ni une ni deux. Quand il voit dans le journal local une petite annonce pour le Ku Klux Klan, cet inspecteur de police décroche son téléphone. Ron laisse un message. Précision: il est noir. Ce détail ne l'arrête pas.
Si l'on veut infiltrer l'organisation, tous les moyens sont bons. Ron restera au bout du fil, à débiter des horreurs ségrégationnistes. Son collègue Flip, qui est juif, l'incarnera en chair et en os.
Telles étaient les choses à Colorado Springs dans les années 1970. Dans BlacKkKlansman - J'ai infiltré le Ku Klux Klan, Spike Lee (Grand Prix à Cannes cette année) s'empare de cette histoire vraie avec une jubilation que ne masque pas une colère rentrée. BlacKkKlansman dénonce l'air du temps, fouaille les entrailles de l'Amérique profonde, s'achève sur les bandes d'actualités tournées à Charlottesville.........
Lire la suite sur Le Figaro
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire