mercredi 28 mars 2018

"Star Wars", "Akira", "Halo"... Comment Spielberg a-t-il pu réunir autant de références dans "Ready Player One" ?

Steven Spielberg à l'avant-première de son film "Ready Player One", le 26 mars 2018, à Los Angeles
(Etats-Unis). (JORDAN STRAUSS / AP / SIPA)

Le réalisateur américain adapte au cinéma le best-seller d'Ernest Cline, bourré de clins d'œil à la pop culture. Un casse-tête en termes de droits ? Pas tant que ça quand on s'appelle Steven Spielberg.


Il aura fallu plusieurs mois de négociations, le bide de The Amazing Spider-Man 2 et des fuites d'e-mails pour que Sony Pictures accepte, en février 2014, de céder une partie des droits d'adaptation de l'homme-araignée à Marvel Studios, lui permettant ainsi de rejoindre l'univers de Tony Stark, Captain America et des autres Avengers. Preuve de la complexité de faire apparaître la propriété intellectuelle d'un studio chez un concurrent direct.

Steven Spielberg, lui, semble n'avoir connu aucune difficulté à réunir dans le même film, Ready Player One, qui sort en salle mercredi 28 mars, la DeLorean de Retour vers le futur, la Mach Five de Speed Racer, la moto d'Akira, le T-Rex de Jurassic Park, Batman, King Kong, R2D2, la poupée Chucky, Freddy Krueger, le Géant de fer, etc. Autant de franchises qui n'appartiennent pas toutes à Warner Bros., producteur de cette adaptation de Player One, le roman d'Ernest Cline bourré de clins d'œil à la culture geek........

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